Ce matin, nous n'y comprenons plus rien !
D'un côté la Ministre de la Santé annonce la continuité de l'Euthyrox allemand (équivalent du Lévothyrox AF) pour l'année 2018, le Président de Merck quant à lui, annonce une dernière livraison
de 200.000 boites début 2018 pour que les malades puissent tenir jusqu'à fin mars.
Nous, on aimerait bien comprendre !
Pour mémoire, le Lévothyrox c'est 8 dosages différents : 25, 50, 75, 100, 125, 150, 175, 200.
Il y a en France 22.000 Officines
200 000 boites, ça fait 9 boites par Officines. SOIT UNE BOITE DE CHAQUE DOSAGE PAR PHARMACIE !
STOP A CETTE COMMUNICATION QUI NE NOUS CONVIENT PAS !
La ministre de la Santé a demandé aux laboratoires Merck de poursuivre la commercialisation de l'ancienne formule du Levothyrox pour l'année 2018.
Les patients français souffrant de la thyroïde auront accès à l'ancienne formule du Lévothyrox.
Une victoire pour les associations de malades qui se plaignent depuis de nombreux mois de la nouvelle formule du médicament, causant des effets secondaires allant
des maux de têtes aux vertiges, en passant par des douleurs articulaires et musculaires.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, les a visiblement entendus puisque, selon nos informations, elle aurait demandé aux laboratoires Merck de maintenir la
commercialisation de l'ancienne formule du médicament pour l'année 2018. Le PDG du fabricant Merck, Thierry Hulot, doit confirmer la nouvelle dans la journée.
En novembre dernier, le tribunal de Toulouse avait
condamné le laboratoire Merck à rendre disponible l'ancienne formule du médicament, fabriquée en partie en France mais destinée, jusque-là, à l'importation. 200 000 boîtes avaient alors
été destinées aux pharmacies françaises.
Une évolution qui devrait donc perdurer pour les prochains mois et se généraliser, apportant un peu de répit aux patients, dont l'avocat, Me Jacques
Lévy, avait dénoncé, au micro de Sud
Radio, un scandale sanitaire.
Source : SUDRADIO 14/12/2017
Levothyrox : Merck ne prévoit pas de fournir l'ancienne formule au-delà de 2018
Nouveau rebondissement dans l'affaire Levothyrox. Le laboratoire allemand Merck Serono a affirmé, ce jeudi 14 décembre, qu'il ne prévoyait pas de distribuer l'ancienne formule du médicament qui
traite les troubles de la thyroïde au-delà de 2018. Celle-ci doit être progressivement remplacée dans l'ensemble des pays européens au cours de l'année.
"Nous n'allons pas éternellement réimporter" en France, a prévenu Thierry Hulot, le patron des activités biopharmaceutiques de Merck Serono dans l'Hexagone, précisant qu'une nouvelle importation était prévue très prochainement pour que le pays puisse tenir jusqu'à mars.
Il y a un mois, le PDG de Merck France avait annoncé l'importation, d'ici la fin de l'année, de quelque 200.000 boîtes supplémentaires de l'ancienne formule du Levothyrox, à la demande
de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
Crise sanitaire
Depuis mars dernier, l'introduction de la nouvelle formule du médicament a déclenché une vaste crise sanitaire dans le pays. De nombreux malades dénoncent des effets
secondaires de cette version mise sur le marché. Ils évoquent des conséquences particulièrement désagréables telles que crampes, maux de tête, vertiges ou perte de
cheveux. L'actrice, Anny Duperey, devenue porte-voix des victimes du Levothyrox, a même mis en cause le ministère de la Santé, qui "couvre quelque chose", selon elle.
365 plaintes ont été déposées par des malades en colère, poussant la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, à réintroduire l'ancienne formule en pharmacie, le 2 octobre
dernier.
Source : RTL le 14/12/2017
La version de BFM TV Maintenant
Le laboratoire pharmaceutique a prévenu qu'il n'importerait pas "éternellement" des boîtes de l'ancienne formule du Levothyrox en France. La nouvelle
formule du médicament pour la thyroïde fait polémique, certains plaignants se plaignant d'importants effets secondaires.
Le laboratoire pharmaceutique allemand Merck Serono ne prévoit pas de fournir l'ancienne formule du médicament
Levothyrox au-delà de 2018, transmet l'AFP ce jeudi. La formule doit être progressivement remplacée dans l'ensemble des pays européens au cours de l'année.
"Nous n'allons pas éternellement réimporter" en France, a prévenu Thierry Hulot, le patron des activités biopharmaceutiques de Merck Serono en France,
précisant qu'une nouvelle importation était prévue très prochainement pour que le pays puisse tenir jusqu'à mars.
Il a indiqué que Merck était éventuellement prêt à en réimporter un peu plus longtemps encore, le temps que des alternatives soient disponibles, mais
sans vouloir donner de date butoir.
En novembre, le laboratoire avait été condamné par le tribunal de grande
instance de Toulouse à fournir des boîtes de l'ancienne formule du médicament.
Cette ancienne formule, appelée Euthyrox en France, ne pourra néanmoins pas continuer à être distribuée dans l'Hexagone une fois que les autres pays européens seront passés à la nouvelle
formule, ce qui devrait se faire "courant 2018", a précisé Thierry Hulot.
100.000 patients français concernés
La nouvelle formule du médicament, destiné aux personnes souffrant de problèmes de thyroïde, est au coeur d'une polémique depuis plusieurs mois, certains patients se plaignant
d'importants effets secondaires.
Selon Thierry Hulot, ces effets imputés au Levothyrox concernent 100.000 patients français sur trois millions.
la ministre de la Santé pour le maintien de l'ancienne formule en 2018
Le laboratoire allemand Merck Serono a affirmé ce jeudi qu’il ne prévoyait pas de
distribuer l’ancienne formule du Levothyrox au-delà de 2018, alors qu’elle doit être progressivement remplacée dans l’ensemble des pays européens au cours de l’année. "Nous n’allons pas
éternellement réimporter" en France, a prévenu Thierry Hulot, le patron des activités biopharmaceutiques de Merck Serono en France, précisant qu’une nouvelle importation était prévue très
prochainement pour que le pays puisse tenir jusqu’à mars.
Auparavant, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, aurait demandé aux
laboratoires Merck de maintenir la commercialisation de l’ancienne formule du Lévothyrox pour l’année 2018.
"Les choses bougent"
"Cela veut dire que les actions en justice menées par notre Collectif, qui réuni des victimes de la nouvelle formule en Occitanie, portent leurs fruits au-delà des tribunaux, considère et se
félicite Sylvie Chréreau, la porte-parole de ce collectif. Mais, la position du ministre n’est pas claire. Elle aurait dit, plus ou moins en cachette, qu’elle souhaiterait le maintien de la
commercialisation pour 2018. Mais après on arrête ? On fait quoi ? Il faudrait qu’elle adopte une vraie position", regrette Sylvie Chéreau.
Me Jacques Lévy, l’avocat des personnes regroupées au sein de ce collectif, est "heureux", lui aussi, de voir que les choses bougent". "Nous devons rester mobiliser et continuer nos procédures
judiciaires, ajoute Sylvie Chéreau".
Nouvelles plaintes à Tarbes, Castres et Montauban
Des plaintes de victimes de la nouvelle formule médicamenteuse doivent être déposées, dans les jours qui viennent, devant les juridictions civiles de Tarbes, Castres et Montauban
En novembre dernier, le tribunal de Toulouse avait condamné le laboratoire Merck à rendre disponible l’ancienne formule du médicament, fabriquée en partie en France mais destinée, jusque-là, à
l’importation. Quant au tribunal de Saint-Gaudens, saisi fin novembre par une cinquantaine de plaignants, il doit rendre sa décision le 26 décembre.
La Dépêche du 14/12/2017
MERCK, SPÉCIALISTE DE LA DOUCHE ÉCOSSAISE ?
LE VNLO DEMANDE DES INFORMATIONS CLAIRES !
EST CE TROP DEMANDER ?