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Comment aider à lutter contre le Covid-19 , documents extraits de la conférence du Docteur Brette pour l'UPGCS

Comment aider à lutter contre le coronavirus 

 

Ce document est un extrait remanié avec autorisation du texte « Le coronavirus raconté aux enfants » de Claude ESCARGUEL, microbiologiste, ancien collaborateur du Dr Didier RAOULT de Marseille. 

Comment éteindre « le feu d'artifice pulmonaire » dès le départ de cette maladie liée au coronavirus qui s'associe aux bactéries dormantes de nos poumons : la COVID-19 (la maladie pulmonaire liée au coronavirus + bactéries). 

 

  • 1.  Petit rappel de l'appareil respiratoire 

Quand vous respirez, vous inspirez de l'air chargé d'oxygène. Cet air passe par les bronches, les bronchioles puis entre dans les alvéoles pulmonaires où il est capté par le sang en échange de dioxyde de carbone que vous expirez ensuite dans un deuxième mouvement, l'expiration. Ces deux mouvements forment la respiration qui se répète toute notre vie : inspiration d'oxygène, expiration de dioxyde de carbone. 

 

Parfois, des bactéries ou des virus (beaucoup plus petits) passent avec l'air et s'accrochent à notre arbre pulmonaire. Ils peuvent créer des petits incendies (des infections) dans les grosses branches (bronches), les petites branches (bronchioles) et parfois les feuilles (alvéoles). 

 

Heureusement, dans notre arbre pulmonaire, il y a tout un tas de petits pompiers (macrophages et autres globules blancs) qui éteignent ces petits incendies. Parfois, les pompiers sont débordés par le feu. On peut alors prendre des médicaments, les antibiotiques, qui peuvent détruire ces méchantes bactéries, surtout quand le feu (l'infection) ne s'est pas encore propagée à l'arbre tout entier. 

 

  • 2.  Spécificité du coronavirus 

Le coronavirus, comme beaucoup de virus, ne crée pas beaucoup de dégâts dans nos poumons surtout si les pompiers (globules blancs) sont très nombreux et vigoureux, comme chez les enfants et les jeunes adultes. 

(Ainsi, 85 % de ces patients ont des formes peu ou pas symptomatiques, c'est-à-dire pas vraiment graves.) Mais parfois, chez les personnes fragilisées par d'autres maladies ou chez les personnes dont les pompiers sont peu nombreux et fatigués (par exemple, les personnes âgées), l'incendie peut s'étendre et devenir immense. 

 

Surtout si une bactérie intracellulaire comme la Mycoplasma Pneumoniae (MP) intervient, un peu comme le vent sur le feu, et provoque des infections graves (15 % des cas). Il faut agir alors le plus tôt possible avec un antibiotique afin d'éviter le plus possible une hospitalisation, voire une réanimation (là où interviennent les docteurs de l'extrême quand la situation est trop grave). Ces super docteurs, avec leurs Canadair (c'est-à-dire beaucoup de médicaments), tentent de nous guérir. On peut alors ressortir de l'hôpital.

Mais parfois, ils restent impuissants devant tant de dégâts dus à ces malfaiteurs (coronavirus + bactéries) qui se sont associés et ont trop proliférés dans nos poumons. On assiste alors à un feu d'artifice violent, avec pneumopathies sévères et tromboses pulmonaires, malheureusement parfois mortelles. 

 

  • 3.  Une bactérie parmi d'autres : Mycoplasma Pneumoniae 

D'autres bactéries dites atypiques intracellulaires, telles que la Legionela Pneumoniae, et d'autres bactéries comme le pneumocoque peuvent surinfecter tes poumons lors d'une attaque par le coronavirus. Mais heureusement, soit tu es bien vacciné contre eux grâce aux vaccins obligatoires contre le pneumocoque, soit tu bénéficies d'une bonne immunité que tu as acquise en collectivité, par exemple à l'école, en croisant tout un tas de virus et de bactéries via les autres enfants. Ces infections sont souvent peu graves et elles renforcent ton système de défense qui apprend à les reconnaître. Ainsi, les pompiers, tes globules blancs, apprennent à mieux lutter contre les petits départs de feu. Tu tombes peu malade ou de façon souvent bénigne, c'est-à-dire pas 

grave du tout.

 

  • 4.  Détecter rapidement Les médecins généralistes sont un peu comme les globules blancs de ton organisme : ils savent repérer les infections s'ils écoutent les poumons physiquement et attentivement, avec un instrument qui se nomme stéthoscope. Ils peuvent alors savoir si tu as besoin d'antibiotiques pour aider ton organisme à guérir (en permettant aux pompiers globules blancs de ton organisme d'être plus disponibles pour éteindre l'incendie dans tes poumons). C'est surtout vrai pour les adultes car les enfants, heureusement, développent rarement des formes graves d'infection pulmonaire liée au coronavirus. En revanche, les adultes avec pneumopathies détectées par le docteur avec son stéthoscope doivent être traités par des antibiotiques. 

 

  • 5.  Pourquoi les médecins qui ont eu à combattre ce virus plébiscitent-ils un certain type de 

traitement antibiotique ? 

Tout simplement parce qu'ils n'avaient pas le droit de prescrire le traitement antibiotique macrolide associé à la molécule dont tout le monde parle : l'hydroxychloroquine, qu'un médecin hospitalier de Marseille a donné très tôt dans le développement de la maladie du coronavirus COVID-19. En effet, le risque de trouble du rythme cardiaque est aggravé par ce type de molécule. Le 26 mars 2020, le Ministre de la Santé a donc pris un décret interdisant aux médecins généralistes de prescrire l'hydroxychloroquine. 

 

À l'hôpital, sous le contrôle d'un électrocardiogramme qui vérifie l'absence d'allongement du QT et avec une surveillance biologique qui vérifie l'absence d'hypokaliémie, on limite peut-être ce risque du trouble cardiaque mais le patient, qui n'a pas été traité de façon suffisamment précoce, a son arbre pulmonaire déjà très infecté et totalement en feu. À ce stade, la chloroquine, même associée avec beaucoup d'autres médicaments, ne parvient plus à éteindre l'infection. Virus et bactéries se sont multipliés trop longtemps dans les poumons qui sont totalement infectés. 

 

  • 6.  Par conséquent, les médecins généralistes de terrain ont traité leurs patients qui présentaient des signes pulmonaires d'infection, avec des antibiotiques macrolides seuls. 

Donc sans la chloroquine, interdite, qui de toute façon, n'agit pas sur les bactéries. 

Les médecins appliquant ce traitement très tôt, dès le début de l'incendie (infection) des poumons, les bactéries n'ont pas eu le temps de se multiplier. L'incendie est circonscrit rapidement et les défenses de l'organisme peuvent se concentrer sur la lutte contre le coronavirus. Les patients ne meurent plus et n'ont plus besoin d'aller à l'hôpital pour être pris en charge par les super docteurs en réanimation. 

 

  • 7.  Aucune étude scientifique à l'hôpital ne peut mettre en évidence cette réussite due à l'application précoce des antibiotiques car lorsqu'un patient arrive à l'hôpital, il a trop attendu. La maladie a eu le temps d'évoluer et elle est devenue trop grave. 

Les médecins généralistes qui obtenaient de bons résultats avec des antibiotiques comme les macrolides (ou les cyclines en cas de résistance ou de risque cardiaque) n'ont pas eu le temps de faire de jolis tableaux pour montrer leur réussite. Quand ils l'ont fait, ils se sont fait traiter de charlatans (mauvais docteurs) car pour certains « scientifiques », la science se fait sur un temps très long, avec beaucoup de protocoles et de perte de temps... 

 

Le petit médecin généraliste de campagne que je suis, ne peut que jurer avoir entendu avec son stéthoscope des pneumopathies (infections bactériennes des poumons), et avoir constaté qu'elles avaient disparu seulement après quelques jours de traitement par ces antibiotiques « miracles » (en tout cas pour lui et ses patients). 

 

  • 8.  Avec un recul de six mois et tous ces avis et articles scientifiques, je pense que les macrolides et autres antibiotiques comme les cyclines sont la solution pour nous sortir de cette pandémie liée au coronavirus. Pourquoi ? Parce que de plus en plus de médecins, même ceux de l'hôpital, constatent cette réussite et parce que le raisonnement scientifique de mon ami, le Dr Claude Escarguel, est basé sur sa connaissance très approfondie de ces bactéries intracellulaires, comme la Mycoplasma Pneumoniae (MP). 

 

Pour faire simple, il explique qu'étant une bactérie vivant à l'intérieur des cellules (intracellulaire), elle reste à l'abri de nos globules blancs. Par ailleurs, comme le coronavirus a besoin de rentrer dans les cellules humaines de nos poumons pour se multiplier, la rencontre des deux en fait des complices, ce qui facilite l'entrée du coronavirus dans nos cellules. L'ensemble se multiplie très rapidement, donnant lieu à un feu d'artifice infectieux qui peut devenir extrêmement dangereux dans 15 % des cas : tout l'arbre bronchique est alors attaqué. Cela donne lieu à des pneumopathies sévères, des tromboses puis une hypoxie (baisse de l'oxygène dans nos poumons). L'hospitalisation est alors indispensable. Dans certains cas, l'infection est tellement grave qu'elle entraîne la mort du patient ou de lourdes séquelles pulmonaires et autres. 

 

  • 9.  Les mesures de distanciation, le lavage des mains, porter le masque, c'est très bien et nécessaire. Il faut les respecter. Mais c'est parfois insuffisant. 

Ces mesures sont parfois insuffisantes pour protéger les adultes fragiles, les personnes dont les pompiers sont fatigués ou rares. Il s'agit par exemple des personnes âgées ou de celles dont le système immunitaire est peu efficace contre les infections. Le coronavirus et les bactéries associées s'en donnent alors à cœur-joie.  

Les personnes fragiles ainsi que celles qui présentent des syndromes pulmonaires comme de la toux ou de la difficulté à respirer (dyspnée) doivent voir un médecin très rapidement afin de prendre les bons antibiotiques le plus tôt possible.  

Sinon, elles risquent de faire partie des 15 % de cas qui vont devenir graves et qui vont risquer leur vie. 

 

  • 10.   En conclusion, on peut vaincre ce coronavirus. 

Ce conarvis, comme dit Colette, une petite fille de 4 ans. 

Tu as compris que ce coronavirus, associé aux méchantes bactéries comme le pneumocoque (contre lequel on a heureusement des vaccins) et la Mycoplasma Pneumoniae intracellulaire opportuniste (contre laquelle nous avons des antibiotiques macrolides ou autres cyclines), crée cette maladie que nous nommons COVID-19 qui nous ennuie et parfois tue des gens depuis des mois en France et partout dans le monde. 

Mais si nous donnons les bons antibiotiques aux personnes fragiles et à celles qui toussent, dès les premiers symptômes, nous pouvons empêcher que la maladie prenne une forme grave. Nous empêchons aussi la dissémination de la maladie dans la population en demandant aux personnes qui toussent de rester chez elles. 

Car même avec un masque, la toux propage le virus. Il est donc important qu'une personne qui tousse s'isole chez elle pendant une à deux semaines pour éviter de contaminer d'autres personnes. 

 

Enfin, le test PCR permet de détecter les personnes peu malades mais aussi contagieuses : là aussi, l'isolement est un bon moyen pour vaincre cette terrible maladie. 

 

Merci de m'avoir lu, je sais que ce n'était pas facile. Mais tu vois, il existe des solutions et les adultes 

responsables vont finir, j'espère, par utiliser les bons traitements dont ces antibiotiques de type macrolide qui ont de si bons résultats en prise précoce, pour nous empêcher d'être très malades à cause de ce fichu coronavirus. 

 

Dr Christophe BRETTE, médecin généraliste dans un petit village rural français, dans les Yvelines, en région 

parisienne. 

Dans le cadre de ma lutte de médecin contre la maladie Covid-19

Vers le 26 mars 2020, j'ai émis une hypothèse sur les traitements curatifs et préventifs des complications par pneumopathie de la maladie Covid-19, pneumopathie probablement et très souvent à pneumocoque. 

Suite à l'auscultation des poumons de patients essoufflés et/ou qui toussaient simplement depuis deux à trois jours, j'entendais systématiquement des crépitants pulmonaires, ce qui signale le début d'une pneumopathie.

J'ai donc prescrit à ces patients un traitement antibiotique de type macrolide Zeclar (clarythromicine) qui a de meilleurs résultats que les pénicillines sur les pneumocoques et sur d'autres germes responsables ensemble de la dégradation des poumons. 

 

Je pense sincèrement que nous pouvons diagnostiquer et traiter la maladie du Covid-19 sur infectée par des bactéries dans les poumons, de façon plus précoce qu'avec des scanners thoraciques. Certes, ces scanners, très utilisés actuellement, posent le diagnostic mais souvent trop tardivement dans l'évolution de la maladie.

Le coronavirus s'allie aux bactéries pour tuer des personnes âgées et/ou fragiles. Et cela risque de 

continuer malheureusement. 

Pourtant, on sait tuer ces bactéries avec des antibiotiques. Or, même si l'on ne sait pas encore lutter contre le coronavirus de façon efficace, je suis sûr que si l'on tue les bactéries rapidement, on laisse au corps et à son système immunitaire les moyens de lutter et de vaincre le coronavirus. Ainsi, je peux soigner mes patients et éviter à certains le passage aux urgences ou en réanimation. Un nombre inespéré de mes patients en ont déjà profité, j'en suis déjà très heureux mais j'aimerais tellement pouvoir en faire bénéficier toute la France et toute la planète. 

 

Ma prescription  est peu onéreuse : 2 boîtes d'un antibiotique type macrolide, à 2 euros la boîte, pendant 14 jours, soit 2 x 500 mg par jour, parfois un peu plus, pour un maximum autorisé de 2000 mg par jour. 

Un macrolide comme le Zeclar que j'utilise, ou le Zithromax (utilisé par le Dr Raoult) ou d'autres antibiotiques, peuvent guérir les patients lorsqu'ils sont traités assez  tôt dans l'évolution de cette double attaque pulmonaire virale et bactérienne. De nombreux autres médecins, en France et dans d'autres pays, ont fait la même expérience. Evidemment, les résultats sont à petite échelle sur un petit échantillon de personnes. Mais je pense que les résultats vont confirmer cette hypothèse : le pneumocoque et d'autres bactéries présentes dans nos poumons, se servent des dégâts créés sur nos poumons par le Covid-19 pour générer des surinfections bactériennes sévères. 

 

Alors n'attendons plus ! Pour lutter contre ces bactéries qui se développent dans l'ombre du Covid-19, il existe des antibiotiques de type macrolide, cycline, céphalosporine de dernière génération, etc., qui sont très efficaces. Elles aident ainsi le corps à vaincre cette double infection lorsque les patients ont déjà des symptômes de surinfection pulmonaire. 

 

De plus, pour ceux qui n'ont pas encore rencontré la maladie Covid-19 ou pour lesquels l'hypothèse de cette rencontre n'est pas sûre, on peut, comme on le fait déjà chez les adultes avec broncho-pneumopathies chroniques constructives (BPCO), les vacciner contre le pneumocoque.

 

Deux vaccins sont disponibles contre le pneumocoque : l'un est très immunisant et surtout utilisé chez les jeunes, c'est le Prévenar (vaccin obligatoire à 2, 4 et 11 mois) ; l'autre protège contre un grand nombre de sérotypes de pneumocoques différents et est plutôt utilisé chez l'adulte, c'est le Pneumovax. 

 

Les patients âgés et/ou avec une immunité très faible peuvent bénéficier de la synergie de ces deux 

vaccins, administrés l'un après l'autre à deux mois d'intervalle, le Prévenar en premier suivi du Pneumovax, afin d'obtenir une bonne immunité contre le pneumocoque. Ainsi, lors d'une infection par le Covid-19, cela permet d'éviter une surinfection pulmonaire à pneumocoque sévère, voire mortelle. 

 

Dr Christophe BRETTE 

L'enregistrement du docteur Brette avec son support de conférence disponible sur la chaîne youtube UPGCS

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enregistrement live de la conférence du docteur Christophe Brette
Comment aider à lutter contre le coronav
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L'UPGCS remercie le Docteur Christophe Brette pour son engagement auprès de ses malades Covid et pour l'excellence de sa présentation lors de la conférence du 25 octobre

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Commentaires: 5
  • #1

    DUCHENE Christiane (mardi, 03 novembre 2020 23:29)

    C'est très clair et précis. Quand je lis cette étude portant sur 86 patients je me dis que j'aimerais faire partie de la patientèle de ce médecin. J'espère que d'autres se joindront à lui, que ce soit en France ou ailleurs. J'espère que le bien être des personnes passera avant des décisions mercantiles comme c'est, hélas, trop souvent le cas. J'ai tout lu de bout en bout : c'est passionnant et à la portée de tout un chacun. Les tableaux sont très clairs. Merci pour le travail réalisé par l'association et tous ceux qui se sont joints à son action. Un espoir se lève, ce soir mon moral est meilleur. Encore MERCI.

  • #2

    DUCHENE Christiane (mardi, 03 novembre 2020 23:30)

    C'est très clair et précis. Quand je lis cette étude portant sur 86 patients je me dis que j'aimerais faire partie de la patientèle de ce médecin. J'espère que d'autres se joindront à lui, que ce soit en France ou ailleurs. J'espère que le bien être des personnes passera avant des décisions mercantiles comme c'est, hélas, trop souvent le cas. J'ai tout lu de bout en bout : c'est passionnant et à la portée de tout un chacun. Les tableaux sont très clairs. Merci pour le travail réalisé par l'association et tous ceux qui se sont joints à son action. Un espoir se lève, ce soir mon moral est meilleur. Encore MERCI.

  • #3

    DUCHENE Christiane (mardi, 03 novembre 2020 23:34)

    C'est très clair et précis. Quand je lis cette étude portant sur 86 patients je me dis que j'aimerais faire partie de la patientèle de ce médecin. J'espère que d'autres se joindront à lui, que ce soit en France ou ailleurs. J'espère que le bien être des personnes passera avant des décisions mercantiles comme c'est, hélas, trop souvent le cas. J'ai tout lu de bout en bout : c'est passionnant et à la portée de tout un chacun. Les tableaux sont très clairs. Merci pour le travail réalisé par l'association et tous ceux qui se sont joints à son action. Un espoir se lève, ce soir mon moral est meilleur. Encore MERCI.

  • #4

    Gérard Jéhel (mercredi, 04 novembre 2020 08:42)

    Bonjour Annie,
    Merci pour cet article super intéressant qui doit donner du baume au coeur à tous les patients qui une grosse peur de ce virus. Cela prouve qu'il n'y a rien d'irrémédiable et qu'il faut laisser aux médecins traitants le choix d'une thérapie pour soigner les malades du covid 19.

  • #5

    Sylviane Schillaci (mercredi, 04 novembre 2020 10:28)

    Très instructif excellent pour expliquer aux enfants moi qui ai peur du covid c est rassurant.
    Merci .
    Cordialement