· 

Covid19 – Crise de confiance : « Nous avons le droit de savoir ! ». Rendez vous lors d'une conférence de presse le 26 novembre

Covid19 – Crise de confiance

« Nous avons le droit de savoir ! »

Plusieurs associations et citoyens  se joignent à l'UPGCS, pour  un référé-probatoire dans le cadre d’une class action

 

Paris, le 19 novembre 2020

 

Après avoir saisi la justice administrative pour rendre leur liberté de prescrire aux médecins de ville, Me. Christophe Lèguevaques et Me. Arnaud Durand, avocats au barreau de Paris, partent à la chasse aux informations vérifiées et aux preuves pour confondre les profiteurs et responsables de la mauvaise gestion d’une crise sanitaire majeure.

 

Dans le cadre d’un référé-probatoire (dit de l’article 145 du Code de procédure civile) comprenant 250 pages, les avocats reviennent sur le premier semestre de la crise pour vérifier les affirmations des uns et des autres afin de préparer des actions collectives en responsabilité civile voire pénale.

 

Pour lire l’assignation : https://adobe.ly/3pKimpZ

 

Dans la présente procédure, nous avons rassemblé trois séries de questions qui sont à l’origine des différentes demandes de communication de pièces :

 

  • Série 1. Les masques : Comprendre le fiasco des masques lié à un changement de « doctrine » suivi d’aucun accompagnement ou d’aucune vérification. Comprendre comment la France a pu tout à la fois voir disparaître cette industrie et s’installer volontairement dans une situation structurelle de manque de masques, ce qui a placé les professionnels de santé et les résidents en EHPAD ou de ESMS dans une situation de risque voire de mise en danger de leur vie.

Dans le même temps, vérifier les informations relatives à la destruction de 300 millions de masques par les autorités publiques et à l’apparition opportune d’autant de masques commercialisés par la grande distribution.

 

  • Série 2. Choix thérapeutique ou tri des malades : De nombreux témoignages, y compris devant la représentation nationale, font état d’un tri des malades sur des critères non pas thérapeutiques mais discriminatoires (âgisme, validisme...).

 

  • Série 3. RIVOTRIL et euthanasie compulsive : Là encore, un voile pudique tente d’être posé sur la vie et la mort dans les EHPAD, les maisons de santé et les établissements spécialisés de personnes handicapées au plus fort de la crise. Certains syndicats dénoncent l’injection de RIVOTRIL, un sédatif puissant, afin d’éviter une hospitalisation jugée superfétatoire et entrainant irrémédiablement le décès des personnes soumises à ce traitement, sans qu’elles aient donné leur accord ou sans que les familles en soient informées. La colère succède à l’horreur lorsque l’on apprend que certaines personnes placées sous RIVOTRIL étaient simplement suspectées d’être contaminées par le SARS-Cov-2. Cette situation met en évidence le manque de test qui ont conduit certains professionnels à décider en aveugle, faute de certitudes sur le diagnostic.

 Le moment est venu de rassembler des informations, des preuves et de solliciter des expertises, notamment informatiques, qui permettront plus tard à des juges indépendants et impartiaux de prendre le temps d’écrire l’histoire judiciaire des oublis, des délaissements et des fautes civiles, administratives, voire pénales que les éléments rassemblés pourront contribuer à démontrer.

 

CONFERENCE DE PRESSE DIGITALE

Jeudi 26 novembre 2020 à 10h00 >> info ci-dessous 

 

S’il peut paraitre prématuré d’accuser et de demander des comptes, il parait absolument nécessaire de rechercher des preuves et de les sanctuariser afin d’éviter toute altération, modification ou disparition. L’affaire du Chlordécone nous rappelle que, parfois, des archives « sensibles » peuvent disparaître laissant enquêteurs et historiens devant un vide abyssal.

 

SANS COLÈRE MAIS AVEC DÉTERMINATION, les requérants ont identifié trois séries de questions auxquelles il faut apporter des réponses sourcées et documentées.

 

Alors que les querelles d’égos défraient la chronique, à une époque où la science est instrumentalisée voire cannibalisée par certains industriels, à un moment charnière où certains profitent de la situation pour créer toujours plus de confusion dans les esprits et dans les cœurs, n’hésitant pas à miner les fondements de la démocratie, les requérants se tournent vers la justice afin qu’elle détruise les rumeurs rebaptisées « fake news » et permette l’émergence d’une vérité partagée seul moyen pour rétablir la confiance nécessaire, mobiliser toutes les énergies et se battre, ensemble, contre une pandémie qui risque de s’inscrire dans le temps.

 

Christophe Lèguevaques, avocat des requérants

À propos de « MySmartCab »

En promouvant les actions collectives conjointes, MySMARTcab entend assurer un contre-poids démocratique en offrant au public les moyens de s'unir pour des actions en justice quand la puissance publique ou celle des grandes entreprises empêchent de faire entendre sa voix ou d’agir.

 

Noublionsrien.fr

Cette plateforme créée en avril 2020 est la réponse de MySMARTcab à la crise du Covid-19. Elle regroupe plus de 23. 518 contributions qui permettent de financer en autonomie des actions judiciaires conformes à la déclaration de principe suivante.

 

Face à la peur, nous opposons la raison. Face à la précipitation, nous revendiquons la pondération. Des hommes et des femmes font preuve d’un courage exemplaire. Nous redécouvrons des personnes qui étaient devenues invisibles alors qu’elles sont indispensables voire vitales. Dans le même temps, certains tentent de tirer profit du chaos qu’ils ont souvent contribué à causer. La solution ne peut venir d’un seul homme ou d’un seul remède et il faut s’unir pour faire le poids.

 

Face à un instant charnière de l’histoire, le droit permet de structurer un monde à réinventer. La Justice révèlera la vérité et sanctionnera les fautifs. Pour renforcer la légitimité des demandes en Justice qui vont être faites, nous mettons à disposition de la communauté notre savoir-faire dans l’organisation d’actions collectives.

N’oublions rien, ne laissons rien passer, grâce à un travail commun et ouvert à tous ceux qui le souhaitent.

Ensemble, nous pouvons écrire une nouvelle page de l’histoire : face aux géants qui les oppriment, les citoyens peuvent l’emporter grâce à leur union en collectifs d’actions en Justice.

Pour participer à la conférence de presse, vous connecter

le  jeudi 26 novembre vers 9h50  avec ce lien : 

https://bit.ly/2IVkKcA

Présentation des associations qui portent ce référé

UPGCS, Union Prévention Gestion des crises sanitaires 

 

  • Retrouvez nos différents articles sur l’épidemie Covid-19 :

https://www.upgcs.org/2020/09/01/sars-covid-19-retrouver-nos-articles/

  • Notre page facebook dédiée à la santé  :

 https://www.facebook.com/Association.UPGCS/?ref=bookmarks

  • Vous pouvez nous retrouver aussi dans ce groupe facebook dédié au Covid et Complications au long cours post Covid

https://www.facebook.com/groups/637875816886372/?ref=share 

  • Si vous souhaitez soutenir nos actions, vous pouvez adhérer

https://www.upgcs.org/adh%C3%A9rer-faire-un-don-la-boutique-upgcs/

 La France porte fièrement en étendard

« la liberté d’expression, L’égalité, et la fraternité » depuis le siècle des Lumières.

Le Sars-Cov-2 ou Covid-19 l’a plongée dans les ténèbres, certains de nos pays voisins disent déjà dans la dictature.

 

Nos médecins sont muselés par le Conseil de l’Ordre et par les autorités qui leur retirent l’essence même de leur fonction qui est de « soigner ». Abreuvés d’informations contradictoires, nous réclamons via ce référé une transparence essentielle. 

 

Annie Notelet, présidente de l’UPGCS

 Association Handi-social

www.handi-social.fr   @odile31   @handi_social

« J’ai voulu m’informer sur le Covid dès février, d’abord pour me protéger, pressentant les risques pour les personnes ayant une santé fragile, puis mes nombreuses lectures d’articles de presse, d’études françaises et étrangères, les échanges avec d’autres militants, m’ont fait découvrir le sort trop souvent réservé aux malades du Covid en situation de handicap et de maladies invalidantes.

 

J’ai mesuré à quel point les représentations erronées qui confondent handicap et comorbidités, ont conduit à écarter des soins des personnes handicapées mais ne présentant aucune comorbidité, triées sur le simple critère du handicap dans une vision utilitariste ou faussement compassionnelle au prétexte que la vie d’une personne handicapée ne vaudrait pas la peine d’être vécue. Sans que l’avis de la personne soit pris.

 

Je refuse que mes pairs et moi-même soyons considérés comme des « morts acceptables » sous prétexte de handicap, situation par ailleurs mal compensée par les pouvoirs publics.

Odile Maurin, présidente d’HANDI SOCIAL

« Le nombre de décès en établissements a continué de progresser pour atteindre plus de 50% des décès totaux COVID19, la privation de libertés organisée s’est conclue littéralement par la privation de la vie »

 

Thibault Corneloup porte-parole de CLE AUTISTES

AR2S

Site : www. ar2s.org

« La gestion purement comptable, au détriment de l’évaluation médico-économique des hôpitaux, et l’absence de stratégie de santé publique ont gravement nui à la protection de la santé individuelle des français. Les valeurs des soignants et des malades, les principes fondamentaux de l’éthique biomédicale et la législation en matière de santé ont été le plus souvent ignorés lors de cette pandémie.

La judiciarisation de la crise sanitaire permettra sans doute de caractériser les oublis, les manques, les fautes et d’incriminer les responsables dans les catégories civiles, administratives, voire pénales.

Mais quid de la demande de « plus jamais ça » ?

Le moment est sans doute venu de s’intéresser à « la responsabilité civique » chère à Paul Ricoeur et Antoine Garapon. »

 

Alain Masclet, président de l’association AR2S

Contacts presse

Maître Christophe Lèguevaques – 06 80 64 74 98 cl@mysmartcab.fr

Maître Arnaud Durand – 06 36 37 41 42–

ad@lexprecia.com

Nous ne pouvons donner suite aux commentaires que s'ils sont assortis d'une adresse mail valide. Merci

Écrire commentaire

Commentaires: 0