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Campagne de vaccination HPV dans les collèges : informations partielles, encadrement inadapté et précipitation mettent en péril la vie des enfants !

Communiqué de presse du 20/11/2023 , journée des droits des enfants 

 

La campagne de vaccination contre le HPV dans les collèges a débuté en octobre 2023, sur circulaire interministérielle de juin 2023.

 

Le 19 octobre 2023, un accident qui va s’avérer mortel a lieu dans un collège privé sous contrat de la région nantaise : un élève de cinquième fait une « chute » consécutive à un « malaise » post-vaccinal. Il décède quelques jours après.

 

Dans son bref communiqué de presse du 20 octobre 2023, l’ARS indique que le phénomène de malaise vagal post-vaccinal est connu, que la campagne va se poursuivre, et précise simplement de manière laconique que « des messages de vigilance ont été repassés sur la surveillance post vaccinale ». 

Pourtant, l’enseignement catholique appelle pour sa part, le 26 octobre 2023, par la voix de son secrétaire général, à la suspension de l’organisation de la vaccination contre le HPV dans tous les établissements catholiques.

 

L’Agence nationale de sécurité du médicament est finalement intervenue pour demander, depuis le 14 novembre, aux professionnels de santé de maintenir allongés ou assis par terre, durant 15 minutes, les jeunes venant d’être vaccinés.

 

Autre incident rapporté par la presse (RTL infos) .... :« 22 collégiens sur 51 vaccinés » soit quasiment la moitié, ont subi eux aussi un effet indésirable post injection, dans la région de Morlanwelz  (novembre 2022)

 

Les effets indésirables à fréquence indéterminée (d'après la notice gardasil 9) liés à la vaccination, notamment celui de syncope sont-ils communiqués aux enfants et aux parents, permettant donc le consentement libre et éclairé ?

 

Cette intervention et cette consigne tardives et insuffisantes n’ont pu hélas éviter le drame qui s’est déroulé en Loire-Atlantique, elles  sonnent comme un aveu : la campagne qui a été organisée dans les collèges  comportait-elle les éléments de sécurité les plus élémentaires ?

 

Bien que le risque de malaise ou syncope suivi de chutes soit bien listé dans la notice du Gardasil 9, cette information n’apparaît apparemment pas dans les documents qui sont remis aux parents avant le recueil de leur consentement.

 

L’UPGCS et les requérants soulèvent la question d’un consentement vicié par le manque d’informations ? Nous avons eu dans les mains, des documents remis aux parents. Ces derniers sont  plus apparentés à une campagne publicitaire plutôt qu’informative qui guide leur main au moment de signer l’autorisation à un geste médical qui sera pratiqué sans l’encadrement approprié ?

 

D’autre part, les professionnels de santé appelés à vacciner ont-ils bien reçu les  consignes permettant d’assurer une surveillance effective des élèves ?

 

La précipitation et l’information trop partielle transmise par les responsables de cette campagne, ARS en tête, ont-elles mis les élèves en danger au sein des établissements scolaires ? Pour les requérants, un acte médical aussi sérieux que la vaccination n’a pas sa place dans l’école, lieu de transmissions des savoirs, et non adapté à la vaccination de masse.

 

Selon le principe de précaution, la campagne de vaccination HPV doit être suspendue sans délai dans l’ensemble des établissements pour la sécurité et l’intégrité physique de tous les enfants de la République.

 

C’est dans cet objectif que l’UPGCS et des parents requérants ont déposé ce jour dédié aux droits de l’Enfant, un référé liberté auprès du Tribunal de Nantes 

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Campagne de vaccination HPV dans les col
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Commentaires: 5
  • #1

    millour (mardi, 21 novembre 2023 11:43)

    Allez au pénal sur la base de l'art 312-1 du code pénal, art 55 de la constitution, art 25 du traité d'Helsinky, art 5 du traité d'Oviedo. Le Droit civil c'est du folklore pour danser en rond....

  • #2

    Bourguignon (mardi, 21 novembre 2023 13:16)

    Ce gardasil a détruit notre vie et handicapé ma fille à l âge de 15 ans

  • #3

    Les Vaxxeuses (jeudi, 23 novembre 2023 07:34)

    Ce communiqué transpire la désinformation antivax. Quelle tristesse que des parents et des enseignants tombent dans ce piège au lieu d'écouter la parole des médecins.

  • #4

    Mclaude (vendredi, 24 novembre 2023 10:52)

    Message aux vaxxeuses. Les médecins ont 1.2 journée de formation sur les vaccins en 10 ans d'études. Et allez voir en Australie. Ils vaccinent et bien que la détection des papillomavirus a diminué, le taux de cancers du col continue d'augmenter. Les gens vaccinés font certainement moins de contrôles. Sinon à quoi servirait ce vaccin s'il faut continuer à se dépister?

  • #5

    UPGCS (lundi, 27 novembre 2023 11:36)

    Messages aux vaxxeuses : contrairement à vous, au sein de l'UPGCS, on connaît et reconnaît la liberté de choix, le consentement éclairé qui sont des libertés fondamentales inscrites dans les chartes du patient.
    Dans notre Conseil d'administration, il y a autant de vaccinés que de non vaccinés, et cela va vous surprendre, nous discutons en toute harmonie et démocratie.
    Dans nos adhérents, il y a la même représentation et chacun a compris que ce qui détermine un choix vaccinal, c'est le vécu médical personnel.
    Venir baver sous un post, entretenir un clivage malsain dans la société, n'est pas une une attitude positive, ni scientifique.
    Nous avons été clairs dans nos deux articles, nous ne visons que l'organisation de vaccination de masse, insuffisamment encadrée dans ces deux articles. Venir dénoncer une autre intention relève de la diffamation.